Les chakras

Ce qu'ils sont et ce qu'est leur rôle

Les chakras, ces zones secrètes du corps

 

Leur vibration énergétique forte ne permettant pas à la plupart d’entre nous de les « voir » ou les « toucher » dans la matière, si l’un des 7 chakras principaux (ils sont en réalité bien plus nombreux) est perturbé, c’est tout l’équilibre physique et psychique de chaque être vivant qui se retrouve bouleversé.

 

« Equilibrer les énergies », « harmoniser les “chakras” », sont un vocabulaire souvent employés dans le milieu énergétique. Mais savez-vous vraiment ce que sont les chakras et à quoi cela sert de se « rééquilibrer énergétiquement » ? 

Sept “roues”, sept vortex invisibles

 

En langage sanskrit, chez les hindous, les « chakras » signifient « roues » et représentent nos centres énergétiques. Ils sont à la base de la médecine ayurvédique, vieille de cinq mille ans. Les textes anciens parlent de 88 000 chakras répartis sur tout le corps. Mais ils en dénombrent sept principaux, situés le long d’une ligne qui suit le trajet de la colonne vertébrale. D’autres médecines les reconnaissent à leur manière : en Chine, ils ont été intégrés dans la pratique de l’acupuncture ; en Occident, ils correspondent aux plexus, des réseaux de nerfs et de vaisseaux, dont le plus connu est le plexus solaire, situé sous le diaphragme.

 

Les chakras appartiennent à notre “corps subtil” (ensemble des énergies invisibles du corps humain (aura, qi, chakras, corps éthérique et une partie de l’âme) et distribuent de l’énergie fondamentale à certains organes physiques. Selon la tradition indienne, l’énergie circule d’un chakra à l’autre par des canaux invisibles.

Au passage de ces « roues », le souffle vital se concentrerait en tourbillonnant dans le sens des aiguilles d’une montre, remontant du périnée au sommet de la tête. L’énergie doit pouvoir passer librement dans les chakras, sans excès, sans manque ni stagnation. Or, un mal-être, une émotion aiguë, des problèmes anciens non résolus, une mauvaise hygiène de vie ou le stress pourraient les dérégler : les chakras se fermeraient, empêchant l’énergie de circuler. Pour les hindous, ce déséquilibre favoriserait les maladies. Equilibrer ses chakras contribuerait donc à prévenir ou à soigner ces dernières.

 

Décoder nos maladies et celles de nos chevaux

 

Les chakras permettent de remonter d’un malaise physique à l’émotion qui le génère, souvent profondément enfouie. A chaque chakra correspondent, en effet, une zone du corps, des organes et des systèmes glandulaires, mais aussi des émotions, des troubles physiques et psychiques.

Par exemple, le chakra du plexus solaire est relié au pancréas. Déséquilibré, il entraînerait des maux d’estomac, des problèmes de poids, mais également un manque d’assurance. Equilibré, il permettrait de s’affirmer sans agressivité. Qui sait interpréter le fonctionnement des chakras pourrait soigner un problème de santé en traitant le dysfonctionnement énergétique en amont de la maladie.

Bien évidemment, comme tous soins parallèles à la médecine allopathique, la réharmonisation des chakras ne doit pas dispenser d’un traitement médical adapté à la maladie.

 

Eviter les « noeuds » et faire circuler l’énergie

 

En thérapie énergétique (reiki, magnétisme, shiatsu ou autre), le rôle du praticien est de stimuler et fait circuler l’énergie. La guérison devient alors possible, grâce à la stimulation du corps qui retrouve ses capacités d’auto-guérison et qui peut ainsi libérer ses énergies et émotions bloquées.

On peut comparer ce processus à un cours d’eau dans lequel des branchages, feuilles et autres se seraient amassés et auraient empêché la libre circulation de l’eau. L’eau ainsi privée de son mouvement naturel et vivant finirait par stagner et pourrir. En libérant l’eau de ce « bouchon », l’eau retrouvera son mouvement de vie et pourra à nouveau circuler et se renouveler.

 

 

Le cheval aussi possède ces mêmes chakras

 

Chaque être vivant dispose de ces centres énergétiques, et fonctionnent de la même manière.
Equilibrer énergétiquement un cheval lui apportera les mêmes bénéfices physique et psychique que chez l’homme.